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jeudi 11 avril 2013

Un pied de nez à cette dernière tempête...


Il a fait si beau cette semaine! Les enfants ont commencé à venir à l'école avec leurs bottes d'eau et un manteau plus léger, on voit enfin le gazon sur nos terrains, on est même allé toute la classe jouer au soccer dans la cour d'école. Mais voilà qu'on aura une (dernière, je l'espère) tempête de neige. Ou quelques flocons. Avec les météorologues, on n'est jamais tout à fait certain.

Quoi qu'il en soit, j'ai le goût de faire une grimace à cet hiver qui semble vouloir se montrer (encore!) le bout du nez. L'hymne au printemps. Écrite par Félix Leclerc. Chantée par dix artistes de ma région, dont Tricot Machine, les Frères Goyette et Nicolas Pellerin. Parce que, comme l'écrit si bien Félix, très bientôt, près du ruisseau s'aligneront les fées. Et les crapauds chanteront la liberté.



La Mauricie chante L'hymne au printemps
Dix artistes de la Mauricie chantent Félix Leclerc, natif de La Tuque

dimanche 20 janvier 2013

Mettez de la couleur

L'intimidation.
Des victimes qui souffrent en silence.
Des témoins qui ne disent rien ou embarquent dans le jeu de l'intimidateur.
Par peur, par inconscience ou par manque de confiance.

Une étudiante du secondaire nous montre, tout en simplicité et de façon touchante, les ravages que les moqueries des autres peuvent faire à une personne. Elle a utilisé la technique du stop-motion (image par image). La musique provient du film "M. Lazhar" ("La Chrysalide" de Martin Leon).

Tout au long de la vidéo, on ressent l'isolement de la jeune adolescente à travers le piano. Puis, s'ajoutent les percussions, en même temps que la détresse s'accentue... Les voix d'enfants se font entendre au moment où un garçon tend la main à la jeune fille et que l'espoir revient.



J'espère que cette vidéo sera vue par de nombreux jeunes et adultes.
Que le message de la créatrice Odile Désaulniers voyagera.

Mettez de la couleur dans la vie de quelqu'un: Agissez!

dimanche 13 janvier 2013

Bears of Legend : découverte musicale


Dernièrement, j'ai découvert un groupe musical de mon coin de pays: Bears of Legend. Ils ont interprété leur chanson The mornings I've let you down au Café Morgane lors d'un concert improptu. J'aurais aimé y être!

Dans la vidéo, une cliente lit un roman jeunesse. Saurez-vous trouver le titre du livre et le nom de l'auteur? Un indice: le roman est publié chez Soulières éditeur.






samedi 24 décembre 2011

Joyeux Noël


On a couru ces derniers jours (semaines?), mais on y est tous arrivé: C'est Noël! 

Je vous souhaite de Joyeuses Fêtes en compagnie des gens que vous aimez!  


L'Alleluia d'Haendel
Un Flash Mob signé Les Petits chanteurs de Trois-Rivières
10 décembre 2011, au Centre commercial Les Rivières (chez nous!)

dimanche 30 octobre 2011

« La gravité ne m'aime pas beaucoup... ouuu»



La gravité ne m’aime pas beaucoup

J’tombe souvent sans explication
Même pas un lacet qui se dénoue
Même pas une pièce à conviction
(Mercure au chrome et p’tits pansements)


Vendredi soir, je suis allée voir le spectacle d’Ingrid St-Pierre à la salle Anaïs Allard Rousseau. Un spectacle à guichet fermé. La fille de Cabano, Trifluvienne d’adoption, a débuté sa carrière d’auteure-compositrice-interprète au piano d’un café Morgane et y a gagné le cœur des gens de la Mauricie.  Depuis que son album « Ma p’tite mam’zelle de chemin » est sorti en mai dernier, on peut la voir et l’entendre de plus en plus à la télévision et à la radio. Ses paroles, tantôt touchantes ou candides, tantôt rigolotes plaisent aux amateurs de chansons francophones qui racontent des histoires. 

Avant que le spectacle ne commence, la délicate Ingrid est venue nous présenter le Trifluvien Benoit Rocheleau, qui a très bien assuré la première partie, au piano et à la voix. Nous avons pu découvrir les chansons teintées d’humour qu’on peut retrouver sur son album encore tout chaud, tout nouveau. Il a fait un clin d’œil à la vedette de la soirée en interprétant sa parodie de « Pâtes au basilic», une version masculine vraiment rigolote qu’il a intitulée « Spagatt aux boulettes à la viande » (ou quelque chose du genre).  Une belle découverte, lorsqu’il a joué ses derniers accords, je me suis dit : « Pas déjà terminé? »

Après l’entracte, Ingrid s’est installée au piano, accompagnée de ses complices, le quatuor à cordes Quatr’Ailes. Par moments, les filles troquaient violon, alto ou violoncelle pour le micro, à titre de choristes. La force d’Ingrid St-Pierre est dans la connexion qu’elle crée avec son auditoire, l’ensorcelant. En chantant, elle balayait la foule du regard et, même si  l’éclairage ne lui permettait de voir (sans doute) que des ombres la plupart du temps, on avait l’impression qu’elle regardait chacun des spectateurs. Lorsqu’elle nous a demandé de faire des « la la la » pendant « Homéostasie crânienne », la foule l’a surprise en chantant toutes ses paroles.

Entre les pièces, elle nous racontait des anecdotes, l’origine de ses chansons et nous faisait rire en racontant ses dernières gaffes. En l’entendant chanter « Mercure au chrome et p’tits pansements », les gaffeurs de ce monde (dont je fais partie) se reconnaissent et se sentent compris. Oui, oui!

D’une grande générosité, Ingrid St-Pierre nous a fait entendre pas une, pas deux, pas trois, mais… (en fait, j’ai arrêté de compter après cinq) environ six nouvelles (magnifiques) chansons. Elle s’est même essayée à l’ukulélé. Puis, à la fin du spectacle, nous avons eu droit à quelques rappels. Au deuxième rappel, elle est revenue à ses débuts en faisant semblant que nous étions tous au Café Morgane, alors qu’elle interprétait des chansons connues et qu’elle devait s’adapter à ses spectateurs. Elle a ainsi chanté des extraits de Metallica, Britney Spears, Les B.B (et j’en oublie!), et, pour ne pas clore un spectacle sur une chanson des B.B, a terminé la soirée en nous faisant entendre sa toute nouvelle chanson, « La planque à libellule ».  

Ingrid St-Pierre, c’est une artiste à découvrir. Et le futur album qu’elle nous tricote promet!

Desjardins



Je nouerai des ficelles à tes souvenirs qui s’étiolent

Et le jour où ils s’envoleront moi j’en ferai des cerfs-volants 
(Ficelles, une chanson au sujet de sa grand-maman atteinte d’Alzheimer)



Ah! Puis, une petite dernière!

Pâtes au basilic


Site Internet officiel d'Ingrid St-Pierre

mardi 6 septembre 2011

Rame, rame, rameurs, ramez

Le thème de l'année à mon école est les pirates. J'adore ce thème, qui est en lien avec celui des animateurs SASEC de ma commission scolaire. 

Pour moi, une classe, c'est comme un équipage de bateau: il y a un capitaine et des matelots. Tous doivent travailler ensemble dans l'harmonie pour se rendre à bon port. Tout au long de l'année scolaire, nous faisons des découvertes qui nous transforment et nous permettent de grandir, d'avancer. 

Une amie m'a envoyé cette vidéo. C'est mignon comme tout! Bonne écoute! 




Une adaptation de « Rame » d'Alain Souchon
par Alexandra et son petit frère Maxence.

mardi 2 août 2011

D'écriture, de petit sorcier et de cinéma...


À mon retour de voyage, après la routine habituelle (faire la lessive, courrier, messages sur le répondeur…), devinez ce que j’ai fait?

Oui, j’ai pris un bain. Après trois semaines de minuscules douches avec rideau qui colle aux fesses si on n’est pas prudent, j’avais hâte de retrouver ma salle de bains.

Puis le lendemain?
Je suis allée voir le dernier Harry Potter.

Ben quoi? Ceux qui me connaissent savent que je suis une adepte de la série. D’ailleurs, un professeur d’université à l’époque où j’étais au baccalauréat en enseignement me surnommait « Madame Harry Potter ».

C’est un peu grâce à cette série que j’ai commencé à écrire pour la jeunesse.

À l’automne 2000, lors de ma première session universitaire en enseignement, je découvre un livre que ma tante lit en anglais : Harry Potter and the Goblet of Fire. Ma jeune cousine avait tenté de me convaincre de lire le premier l’année précédente en me décrivant les personnages, mais ça ne me disait rien à l’époque. Or, je commence à lire le 4e. C’est d’abord par défi pour voir si j’arrive à lire en anglais. Après 3 chapitres, je suis complètement accro. Ma tante, un peu découragée, me dit : « Bah! Garde-le… je préfère attendre la version française finalement. » Après l’avoir terminé, j’achète les trois premiers livres de la série (en V.F) et les dévore.

Cette semaine-là, mon professeur d’histoire de l’éducation nous explique notre travail de session : choisir une période historique vue en classe et écrire un récit fictif qui s’adresse à des élèves de 10-12 ans en incluant des éléments historiques. On peut inventer le personnage ou non. Pas de limite de pages, on peut écrire une chanson, une histoire. Liberté totale. Son exemple : Pikachu fait un pèlerinage à Compostelle.

Je viens de finir de lire les quatre premiers Harry Potter. L’univers de J.K. Rowling me fascine. Je choisis donc d’écrire le 5e Harry. Dans mon manuscrit, Harry et ses amis doivent suivre le cours « Histoire des Moldus » et faire un stage à une époque choisie par le choixpeau. Harry, Ron et Hermione se retrouvent à l’époque de Charlemagne. Je fais une recherche sur la sorcellerie au Moyen âge et l’école palatine de Charlemagne, je développe une intrigue, je m’amuse comme une folle et j’écris une vingtaine de pages (à simple interligne). J’ai le souvenir d’un dimanche soir après le souper. Je retourne à mon travail de session, j’écris et je suis transportée dans un autre monde. Puis, à un moment, j’entends les oiseaux gazouiller dehors. Lorsque je regarde l’horloge, il est dépassé 5 heures du matin. Oups!  Peut-être faudrait-il que je dorme...

Après, il y a eu trois autres livres, les films, la Pottermania. Dès qu’un nouveau livre paraissait en anglais, je le lisais. Puis, je le relisais en français un an plus tard. Mes amies d’université et moi organisions une sortie de groupe au cinéma à chaque nouveau film. Nous avons arrêté lorsque nous avons obtenu notre diplôme.

Je suis toujours déçue lorsque je regarde les films de la série. De toute façon, un film est rarement aussi bon qu’un livre. J’ai lu de bonnes critiques pour ce dernier opus, mais je suis sortie du cinéma avec un petit agacement. Je ne sais même pas pourquoi. Parce que ça a trop trempé dans la sauce hollywoodienne? Parce que c’est le dernier de la série?  

J’espère que les enfants qui connaissent Harry Potter grâce aux films seront assez curieux pour découvrir les livres. Quant à moi, j’ai bien hâte de lire ce que son auteure nous réserve dans les prochaines années.

Je vous laisse sur Firebolt, la parodie de Firework de Katy Perry, vidéo créée par Divine Comedy, un groupe d’étudiants d’une université américaine. J’ai trouvé la vidéo sur ce blogue.



lundi 20 juin 2011

La musique pour recharger les "piles"

« La musique donne une âme à nos cœurs, des ailes à la pensée et un envol à l’imagination »
Platon

Cette fin d’année scolaire, plus que les précédentes, m’a fatiguée. Ces dernières semaines, j’ai eu du mal à imaginer que j’arriverais à la ligne d’arrivée en même temps que mes collègues. L’insomnie m’a visitée, les maux de tête et de dos m’ont mise K.O. Par chance, je me suis parfois permis une petite demi-heure de sieste avant le souper pour survivre.

Vendredi soir, je me suis rendue à la générale pour le concert de fin d’année du Chœur du Roy, un ensemble vocal regroupant principalement des employés de ma commission scolaire. Pour la première fois en sept ans, j’y suis allée à reculons. Je suis une fidèle alto qui n’a manqué aucun concert du chœur depuis ses débuts. Pourtant, cette semaine, j’aurais bien aimé rester chez moi. Mais nous préparons ce concert depuis cinq mois…

Le lendemain soir, on rendait hommage à nos grands : Gilles Vigneault, Félix Leclerc et Claude Léveillée. Plus le concert avançait, plus je sentais mes « piles » se recharger. La musique a cet effet sur le corps. La solidarité du groupe et les réactions du public ont cet effet sur le moral. André, notre chef de chœur, avec sa passion contagieuse, a cet effet sur le cœur. De le voir nous diriger, tout souriant et avec tant d’ardeur, on ne peut s’empêcher de sourire à notre tour et de tout faire pour nous garder du souffle afin de tenir la dernière note jusqu’à ce qu’il nous fasse ce petit signe (et le clin d’œil qui suit) qui nous dit que la chanson est finie.

Grâce à mes amis du Chœur du Roy, je sais que j’arriverai à la ligne d’arrivée en même temps que tout le monde, ce jeudi. Et en plus, j’aurai de l’énergie pour profiter du début des vacances. On se planifie un feu de camp tout en musique, les copains?


samedi 7 mai 2011

Pour célébrer le printemps ou la fête des mamans...



Une amie m'a envoyé cette vidéo (une publicité japonaise) ce matin, qui m'a bien fait sourire.  Ça donne le goût d'aller prendre un grand bol d'air frais dans la forêt, vous ne trouvez pas?


Extrait de l'une des cantates les plus connues de Johann Sebastian Bach.
Le coeur, la bouche, l'action, la vie, BWV 147